Le plaisir retrouvé de se lever chaque matin... ANIMA Hypnose & Coaching

jeudi 24 juillet 2025

Ce que nos vêtements révèlent de nous : du soulier d’enfant à l’uniforme d’hypnothérapeute

Une paire de chaussures pour aller plus vite

Quand j’étais enfant, j’avais des chaussures qui me faisaient courir plus vite. Des Gépy.
Semelles bicolores en caoutchouc rebondissant, lignes aérodynamiques, confort futuriste. Elles me propulsaient dans un monde où la vitesse avait quelque chose d’intergalactique.

Je galopais dans les couloirs, bondissais de plaque en plaque sur les trottoirs, des ressorts sous les pieds. Je défiais d'autres enfants sur des sprints improvisés, et je dois l'avouer : il m’arrivait souvent de gagner — il faut dire que mes adversaires ne portaient pas de Gépy.

L'influence du mouvement sur l'attitude

Ces chaussures ont façonné une manière d’être : vive, rapide, presque virevoltante.
Des gestes précipités, des élans fulgurants, un corps qui réagit à la vitesse de la pensée. Pendant longtemps, elles ont influencé mon attitude, jusque dans ma façon d’occuper l’espace.

Et aujourd’hui encore, cette dynamique intérieure trouve un nouvel écho dans ce que je choisis de porter.

Une tenue choisie pour mieux accompagner

Je ne porte plus de Gépy, bien sûr.
Mais j’observe que ma tenue professionnelle agit elle aussi sur mon comportement. Chaque jour, au cabinet, je revêts les mêmes vêtements : simples, sobres, bleu marine. Ils sont strictement réservés à mon activité. Vous ne me verrez jamais les porter en dehors des séances.

Ce choix n’est pas anodin. Il ne s’agit pas d’un uniforme au sens rigide du terme, mais d’un repère, d’un seuil. Ce vêtement me signale que je suis prêt. Il m’invite à me rendre disponible.

Un déclencheur d’état intérieur

Croyez-le ou non, mais mes vêtements agissent sur ma créativité, sur ma qualité de présence, sur la relation à l’autre. Je me sens plus léger, plus clair, plus aligné.
C’est comme s’ils me permettaient d’accéder à certaines ressources, à des aspects précis de ma personne, utiles dans l’accompagnement thérapeutique.

À force de les porter, ces habits ont créé en moi des automatismes cognitifs. Une forme de connexion naturelle se crée, comme un déclencheur qui m’ouvre à une autre version de moi-même.

Ce qu’on choisit d’enfiler pour avancer

Autrefois, mes chaussures me propulsaient dans le jeu et la vitesse. Aujourd’hui, ma tenue me porte dans l’espace du soin. Ce n’est pas un déguisement, c’est une extension de ce que je choisis de mettre au service de l’autre.

Qu’il s’agisse de courir, de créer ou d’accompagner, tout commence par la manière dont on habite ses pas — et ce qu’on choisit de révéler pour les faire.

Tâchons de faire les bons choix.

Vous souhaitez vous reconnecter à votre élan intérieur ou retrouver un équilibre personnel ?
Je vous accueille au cabinet ANIMA Hypnose à Angoulême ou en séance à distance, avec une approche sensible et personnalisée. Prenez rendez-vous au 07 69 93 33 18

mardi 22 juillet 2025

Qui suis-je pour juger ?

Le buzz d’un couple... et le verdict du monde

Sans doute avez-vous croisé les images de ce couple américain, surpris par l’œil indiscret d’une lovecam en plein concert. Un couple d’adultes, visiblement peu désireux d’être reconnu, dont la réaction paniquée a fait le tour du monde. Parodies en cascade, sketchs, vidéos en boucle. Un buzz mondial.

Ils travaillaient pour la même entreprise. Celle-ci, outrée par le comportement de ses salariés, a exigé des explications. L’homme a démissionné de son poste de directeur général.

Le monde dans lequel je vis…

Voici donc le monde dans lequel je vis ? Un monde peu réjouissant à mon goût. Marqué d’un côté par la violence, la guerre, la destruction écologique, les excès, les incivilités. Et de l’autre, par cette étrange tentation de se muer en petit juge, en censeur de ce qu’il conviendrait de faire ou non dans la vie — celle des autres, bien sûr.

Un monde où la faute ou la fragilité de celui qui se fait prendre devient l’exutoire de nos propres failles : raillerie, persiflage, cynisme.

« Après tout, ils n’ont qu’à assumer ! », ai-je entendu…

Je n’aime pas cet aspect du monde qui rit et conspue en meute, qui exige des comptes, se venge ou se repaît de moqueries, de sadisme, détruisant au nom d’un sarcasme « bien mérité », tout ce qui pourrait rappeler au juge qu’il n’est pas si différent du coupable.

Mêmes mécanismes, autre époque

Cela me rappelle les images terribles de ces femmes tondues et exhibées à la Libération — un déferlement de haine, de bassesse collective, qui n’a rien à envier à la puissance des réseaux sociaux. En meute, le sombre se déchaîne. Sans limite.

Je fais sans doute partie de cette meute, tout autant qu’un autre.
Mais j’essaie de me souvenir que ces gens moqués, humiliés, pourraient être moi, ou l’un de mes fils, l’une de mes filles, ma mère…

J’essaie aussi de me souvenir que la dignité — celle que je suis si prompt à juger chez l’autre — ne réside jamais, jamais, jamais, ailleurs que dans mes propres réactions.

Une question brûlante

Le pape François disait :

« Qui suis-je pour juger ? »

Voici une question brûlante, plus actuelle que jamais, en ces temps de « joyeux » déchaînement collectif, où l’humiliation se consomme à coups de clics, comme les pop-corn dans un seau en plastique.

Besoin d'apaisement dans ce monde oppressant ?

Je vous accompagne en séance, en présentiel à Angoulême ou à distance. Contactez ANIMA Hypnose : 07 69 93 33 18 

vendredi 18 juillet 2025

La puissance des détails

Il suffit parfois d’un rien, d’un détail minuscule, pour que le monde bascule dans une toute autre perception. Une simple cédille, une infime variation sonore, et tout change. Ces subtilités, à la fois linguistiques et corporelles, façonnent notre réalité. Et si c'était justement dans ces détails que résidait le vrai sens de ce que nous vivons et exprimons ?

Les petits signes qui transforment le sens

Une cédille n’est qu’un petit crochet sous une lettre. Pourtant, elle a le pouvoir de modifier totalement un mot. Sans elle, le "caleçon" devient "calecon" — un glissement infime, et l'on ne parle plus du même objet. De la même manière, une confusion entre le mâcon (vin) et le maçon (métier) peut prêter à sourire… ou semer la confusion.

Ces signes, presque invisibles, portent pourtant des mondes en eux. Ils dessinent des nuances, ouvrent des perspectives, modifient des intentions.

Langage écrit : un terrain de jeu pour les nuances

Les langues sont riches de ces subtilités : apostrophes, majuscules discrètes, ponctuation expressive... Une virgule déplacée peut infléchir le sens d’une phrase. Les guillemets encadrent, interrogent ou accentuent. Une minuscule variation donne au texte un relief insoupçonné.

Ces petits détails ne sont pas de simples ornements. Ils sont des révélateurs de sens, des invitations à lire entre les lignes.

Le corps aussi parle en détails

Au-delà des mots, nos corps regorgent eux aussi de micro-expressions pleines de sens. Un haussement de sourcils, un silence prolongé, une main qui balaye l’air, une tête qui se penche… Ces gestes subtils ponctuent nos paroles, parfois plus clairement encore que les mots eux-mêmes.

Sans eux, la communication deviendrait terne, confuse, dénuée de relief. Ils sont l’intelligence du corps, cette capacité à dire l’indicible.

Célébrer la nuance : un chemin vers plus de conscience

Et si notre monde intérieur fonctionnait de la même manière ? Une infime prise de conscience, une ouverture minuscule, un mot entendu autrement… et tout s’éclaire. Le sens se transforme. Le regard change. Le détail devient porte d’entrée vers quelque chose de plus vaste, plus subtil, plus vrai.

Et si tout se jouait dans les détails ?

Les détails changent tout. Ils sont les tremblements discrets qui bouleversent nos équilibres. Dans la langue, dans le corps, dans la relation à soi et aux autres, ces petits riens sont les clefs d’une compréhension fine du monde. Les ignorer, c’est risquer de passer à côté de l’essentiel.

Besoin d’éclairer ce qui se joue en vous, dans ces nuances que vous ressentez sans toujours les comprendre ?
Je vous accompagne à travers l’hypnose, au cabinet ANIMA Hypnose à Angoulême ou à distance, pour vous aider à décoder ces subtilités qui peuvent tout transformer.

Contactez-moi au 07 69 93 33 18 pour réserver votre séance.

jeudi 17 juillet 2025

L’Effort Juste : un chemin vers l’équilibre intérieur

Un héritage millénaire au service de l’équilibre mental

Connaissez-vous l’Effort Juste enseigné par Bouddha ?
Il s’agit d’une force tranquille, une discipline intérieure orientée vers la libération de la souffrance. Cet enseignement vieux de plus de 2500 ans propose une méthode pour faire face aux obstacles et aux tensions du quotidien. Un outil mental puissant, proche dans son essence de ce que la psychologie positive contemporaine redécouvre aujourd’hui.

Une pratique quotidienne en quatre temps :

1. Écarter les sources de pensées négatives

La première étape consiste à empêcher l’émergence des pensées néfastes. Cela passe par l’évitement conscient des sources qui alimentent ces états d’esprit.
Par exemple : "si je constate que regarder BFM en boucle me rend anxieux, je choisis de m’informer autrement."

Ce positionnement suppose une bonne connaissance de soi et une vigilance active quant aux situations, contenus ou habitudes qui favorisent la négativité. La clé : mettre en place de nouvelles routines plus saines, plus sereines.

2. Combattre les pensées perturbatrices

Comme nous ne choisissons pas les pensées qui nous traversent, l’étape suivante est d’apprendre à les désamorcer. Cela demande un engagement :

  • Ignorer une pensée nuisible,
  • La relativiser,
  • La remplacer par une pensée plus aidante.

Les outils de la thérapie brève offrent ici des leviers très efficaces pour affaiblir la charge émotionnelle des pensées indésirables. C’est une véritable décision intérieure, un entraînement à se désidentifier des scénarios mentaux répétitifs.

3. Cultiver les pensées bénéfiques

Une fois le terrain apaisé, il devient possible de nourrir activement les états d’esprit positifs :

  • Gratitude,
  • Capacité d’émerveillement,
  • Rappel des bons souvenirs,
  • Optimisme,
  • Générosité,
  • Joie, gentillesse, humour…

S’entourer de ce qui fait du bien est un choix fort. C’est aussi ce à quoi ce texte aspire : semer un peu de lumière dans votre quotidien.

4. Entretenir la clarté intérieure avec constance

Le dernier pilier de l’Effort Juste consiste à entretenir ce nouvel état d’esprit. Cela demande de la patience, de la simplicité et surtout, une forme de constance.

À l’image d’un jardinier qui, chaque jour, arrose ses fleurs, nous pouvons apprendre à maintenir un climat intérieur doux, bienveillant, lucide. Cela suppose de choisir, encore et toujours, ce qui soutient notre équilibre plutôt que ce qui l’altère.

Pas de garantie de résultat immédiat. Seulement le geste, renouvelé, de prendre soin.


Et maintenant ?

Et si vous commenciez dès aujourd’hui à orienter vos pensées vers ce qui vous fait du bien ?
Un pas après l’autre. Je vous accompagne dans cette démarche, avec douceur et clarté, grâce à l’hypnose thérapeutique.

Réservez votre séance au cabinet ANIMA Hypnose à Angoulême (Charente), ou à distance, au 07 69 93 33 18.

lundi 23 décembre 2024

Quand l’absence devient lumière : hommage à ceux qui vivent en nous

La mémoire d’un être cher

Ce matin, mes pensées vont vers mon grand-père. Il est né un 23, au tout début du siècle dernier. Un homme d’une générosité rare, sans doute la plus belle âme que j’aie croisée. Il est parti depuis longtemps, mais son souvenir reste vif. Je revois son rire, sa voix, sa peau, ses gestes familiers. Il me manque. J’aimerais pouvoir le serrer dans mes bras, ne serait-ce qu’une fois encore.

Non, je ne suis pas triste. Mais parfois, je ressens physiquement son absence. Comme un vide qui pèse sur le corps. Et dans ce creux-là, quelque chose apparaît.

Absence et présence : les deux faces d’un même lien

Évoquer une absence, c’est en convoquer la présence. Chaque fois que le manque me traverse, l’autre revit en moi. Par le souvenir, par l’émotion, par la mémoire sensorielle. Il y a une forme de présence dans le manque. Comme deux faces d’une même pièce. Héraclite le disait déjà : les contraires s’appellent. L’absence appelle la présence, l’ombre révèle la lumière.

Et aujourd’hui, je ressens surtout de la douceur. Ce sont des éclats d’amour qui demeurent. Des traces précieuses que je garde comme un écrin. Être témoin de leur existence, c’est porter en soi quelque chose d’eux. Une lumière intérieure, fragile et puissante à la fois.

La lumière de ceux qui ne sont plus là

Je me sens honoré d’avoir croisé leur chemin. Chacun d’eux m’a transformé, éclairé. Ils continuent de m’accompagner. Même absents, ils me révèlent encore à ce que je suis. Ils m’aident à maintenir ce fragile équilibre qu’est la vie.

Et je sais que je ne suis pas seul à ressentir cela. En cette période de fin d’année, les absents se font souvent très présents. Parfois cruellement. Les "partis trop tôt", les silences à table, les regards qui cherchent et ne trouvent plus.

Honorer les liens invisibles

Alors en ce 23 décembre, je nous souhaite à tous de nous reconnecter à ces présences invisibles. Non pas dans la douleur, mais dans la tendresse. Que ces lumières que nous portons en nous puissent réchauffer nos cœurs et éclairer nos chemins. Même au milieu des festivités, même dans la joie.

Ce sont des présences vivantes, lumineuses, et précieuses. Haut les cœurs.

Besoin d’un espace pour déposer, honorer ou se recentrer ?

Je vous accompagne au cabinet ANIMA Hypnose à Angoulême (Charente), ou à distance.
Pour réserver une séance : 07 69 93 33 18.

dimanche 22 décembre 2024

La vie a-t-elle un sens ?

Quand un film d’animation touche à l’essentiel

C’est assez rare pour être noté : j’ai récemment regardé un film d’animation, Soul des studios Pixar. L’histoire d’un professeur de musique, passionné de jazz, qui attend désespérément de vivre enfin "sa vraie vie". Il est convaincu que son bonheur repose sur cette vocation tant rêvée. Mais le destin – ou la vie – va lui jouer quelques tours.

Entre aventures rocambolesques, réflexions spirituelles légères et bandes son jazzy, ce film m’a touché. Notamment sur ce point précis : ce besoin profond que l’on peut avoir de donner un sens à sa vie. Trouver sa mission, sa voie, son idéal. Comme si notre existence n'était valable qu’à condition d’y parvenir.

Trouver un sens à sa vie : quête ou piège ?

C’est une question que je rencontre souvent dans mes accompagnements : "Quel est le sens de ma vie ?"
Certains cherchent avec intensité, parfois avec désespoir. D’autres pensent l’avoir trouvé, et l’érigent en vérité absolue. Et puis, il y a ceux pour qui cette quête devient douloureuse. Elle crée une pression immense. Un idéal à atteindre, un but parfois flou, souvent inaccessible, mais vécu comme une condition sine qua non du bonheur.

Dans cette logique, il faudrait attendre d’avoir trouvé le sens pour pouvoir enfin se sentir vivant. Et en attendant ? On retient son souffle. On se juge. On se fige. On se croit en échec. C’est une mécanique bien cruelle, car elle nous éloigne du vivant. Du simple fait d’être.

Une autre façon de vivre le sens

Quelque part, dans un livre dont j’ai oublié le nom, un auteur proposait une métaphore pleine de douceur. Il suggérait d’imaginer le sens de la vie non pas comme un objectif à atteindre, mais comme un spray. Un diffuseur qui envoie partout, autour de nous, des gouttelettes de sens.

Pas un seul sens. Du sens, en dispersion. Partout, tout le temps. Dans les gestes simples, les relations, les instants présents. Cette image m’a marquée. Elle fait écho au message du personnage "22" dans le film Soul, cette âme en quête de ce petit je-ne-sais-quoi pour s’incarner. Ce rappel que le vivant est déjà là, dans la vie elle-même.

Et si on cessait de chercher ?

En ce 22 décembre, je nous souhaite de cesser de remettre à demain ce qui pourrait nous rendre vivant maintenant. De ne plus attendre un idéal, mais d’accueillir les instants, tels qu’ils sont. D’inspirer chaque goutte du présent comme un sens en soi.

Le sens n’est peut-être pas à trouver. Il est à vivre.

Vous sentez-vous parfois perdu face à cette quête de sens ?

Je vous accompagne avec bienveillance pour vous reconnecter à ce qui est déjà là, à ce qui vibre en vous.
Séances au cabinet ANIMA Hypnose à Angoulême (Charente) ou à distance.
Réservez votre séance au 07 69 93 33 18.

samedi 21 décembre 2024

Quel est le poids d’une vie ?

Ces instants où tout bascule

Vous souvenez-vous du film 21 grammes avec Sean Penn ? Ce film qui entremêle des vies bouleversées par un événement tragique. Je ne l’ai pas revu depuis longtemps, mais il a sans doute nourri certains de mes textes.

Il interroge profondément : qu’est-ce qui fait le poids d’une existence ? Ces moments de bascule, ces points de rupture qui marquent un avant et un après dans une vie. Nous en avons tous connu. Ils peuvent surgir dans la douleur comme dans la beauté. Ils nous transforment, parfois en silence, parfois dans un fracas.

Le poids d’une décision… ou d’un simple retard

Les moments décisifs ne sont pas toujours spectaculaires. Il y a ceux que l’on reconnaît instantanément – accidents, choix cruciaux, rencontres bouleversantes. Et puis, il y a ceux que l’on découvre après coup : un retard qui évite un drame, un oui ou un non anodin qui crée une cascade de conséquences.

Chaque instant porte en lui le potentiel d’un basculement. Une vie est faite d’un enchevêtrement de décisions, de non-décisions, de hasards heureux ou tragiques. Elle est dense. Dense de ressentis, de tournants imprévus, de confrontations et d’évitements, de chemins qui bifurquent sans prévenir.

Au cœur du chaos, notre capacité à vivre

Et au milieu de tout cela : nous. Essayant de tenir debout. De faire avec. De faire au mieux.

Et pourtant, même dans ce désordre apparent, il y a de la lumière. Il y a des élans de joie, des fous rires partagés, des gestes tendres, un regard qui touche, une musique qui éveille, une rencontre qui réanime. Tomber amoureux, sentir en soi un élan, une force, une liberté.

La vie passe partout, tout le temps. Elle est mouvement, elle est transition. Elle est ce qui palpite en nous, même dans les silences, même dans les creux.

Combien pèse une vie ?

Difficile à dire. Peut-être autant que ce qui a été vécu… et ce qui ne l’a pas été. Ce qu’on a choisi, ce qu’on a évité, ce qu’on a laissé passer.

Je n’ai pas de calculatrice assez puissante pour évaluer ce poids. Alors ici et maintenant, je choisis de m’attarder sur ce que je peux : l’intensité d’un instant. Ressentir, accueillir, vivre. Pleinement.

Une invitation à la présence

En ce 21 décembre, je nous souhaite une connexion intense et légère à chacun de nos instants. Car c’est peut-être là, dans cette attention, que réside le vrai poids de la vie.

Et si vous ressentiez le besoin de déposer, d’éclaircir, ou d’explorer ce qui pèse ou ce qui appelle en vous ?

Je vous accueille au cabinet ANIMA Hypnose à Angoulême (Charente) ou à distance, avec bienveillance.
Réservez votre séance au 07 69 93 33 18.

Ce que nos vêtements révèlent de nous : du soulier d’enfant à l’uniforme d’hypnothérapeute

Une paire de chaussures pour aller plus vite Quand j’étais enfant, j’avais des chaussures qui me faisaient courir plus vite. Des Gépy. Seme...