Le plaisir retrouvé de se lever chaque matin... ANIMA Hypnose & Coaching

mardi 22 juillet 2025

Qui suis-je pour juger ?

Le buzz d’un couple... et le verdict du monde

Sans doute avez-vous croisé les images de ce couple américain, surpris par l’œil indiscret d’une lovecam en plein concert. Un couple d’adultes, visiblement peu désireux d’être reconnu, dont la réaction paniquée a fait le tour du monde. Parodies en cascade, sketchs, vidéos en boucle. Un buzz mondial.

Ils travaillaient pour la même entreprise. Celle-ci, outrée par le comportement de ses salariés, a exigé des explications. L’homme a démissionné de son poste de directeur général.

Le monde dans lequel je vis…

Voici donc le monde dans lequel je vis ? Un monde peu réjouissant à mon goût. Marqué d’un côté par la violence, la guerre, la destruction écologique, les excès, les incivilités. Et de l’autre, par cette étrange tentation de se muer en petit juge, en censeur de ce qu’il conviendrait de faire ou non dans la vie — celle des autres, bien sûr.

Un monde où la faute ou la fragilité de celui qui se fait prendre devient l’exutoire de nos propres failles : raillerie, persiflage, cynisme.

« Après tout, ils n’ont qu’à assumer ! », ai-je entendu…

Je n’aime pas cet aspect du monde qui rit et conspue en meute, qui exige des comptes, se venge ou se repaît de moqueries, de sadisme, détruisant au nom d’un sarcasme « bien mérité », tout ce qui pourrait rappeler au juge qu’il n’est pas si différent du coupable.

Mêmes mécanismes, autre époque

Cela me rappelle les images terribles de ces femmes tondues et exhibées à la Libération — un déferlement de haine, de bassesse collective, qui n’a rien à envier à la puissance des réseaux sociaux. En meute, le sombre se déchaîne. Sans limite.

Je fais sans doute partie de cette meute, tout autant qu’un autre.
Mais j’essaie de me souvenir que ces gens moqués, humiliés, pourraient être moi, ou l’un de mes fils, l’une de mes filles, ma mère…

J’essaie aussi de me souvenir que la dignité — celle que je suis si prompt à juger chez l’autre — ne réside jamais, jamais, jamais, ailleurs que dans mes propres réactions.

Une question brûlante

Le pape François disait :

« Qui suis-je pour juger ? »

Voici une question brûlante, plus actuelle que jamais, en ces temps de « joyeux » déchaînement collectif, où l’humiliation se consomme à coups de clics, comme les pop-corn dans un seau en plastique.

Besoin d'apaisement dans ce monde oppressant ?

Je vous accompagne en séance, en présentiel à Angoulême ou à distance. Contactez ANIMA Hypnose : 07 69 93 33 18 

vendredi 18 juillet 2025

La puissance des détails

Il suffit parfois d’un rien, d’un détail minuscule, pour que le monde bascule dans une toute autre perception. Une simple cédille, une infime variation sonore, et tout change. Ces subtilités, à la fois linguistiques et corporelles, façonnent notre réalité. Et si c'était justement dans ces détails que résidait le vrai sens de ce que nous vivons et exprimons ?

Les petits signes qui transforment le sens

Une cédille n’est qu’un petit crochet sous une lettre. Pourtant, elle a le pouvoir de modifier totalement un mot. Sans elle, le "caleçon" devient "calecon" — un glissement infime, et l'on ne parle plus du même objet. De la même manière, une confusion entre le mâcon (vin) et le maçon (métier) peut prêter à sourire… ou semer la confusion.

Ces signes, presque invisibles, portent pourtant des mondes en eux. Ils dessinent des nuances, ouvrent des perspectives, modifient des intentions.

Langage écrit : un terrain de jeu pour les nuances

Les langues sont riches de ces subtilités : apostrophes, majuscules discrètes, ponctuation expressive... Une virgule déplacée peut infléchir le sens d’une phrase. Les guillemets encadrent, interrogent ou accentuent. Une minuscule variation donne au texte un relief insoupçonné.

Ces petits détails ne sont pas de simples ornements. Ils sont des révélateurs de sens, des invitations à lire entre les lignes.

Le corps aussi parle en détails

Au-delà des mots, nos corps regorgent eux aussi de micro-expressions pleines de sens. Un haussement de sourcils, un silence prolongé, une main qui balaye l’air, une tête qui se penche… Ces gestes subtils ponctuent nos paroles, parfois plus clairement encore que les mots eux-mêmes.

Sans eux, la communication deviendrait terne, confuse, dénuée de relief. Ils sont l’intelligence du corps, cette capacité à dire l’indicible.

Célébrer la nuance : un chemin vers plus de conscience

Et si notre monde intérieur fonctionnait de la même manière ? Une infime prise de conscience, une ouverture minuscule, un mot entendu autrement… et tout s’éclaire. Le sens se transforme. Le regard change. Le détail devient porte d’entrée vers quelque chose de plus vaste, plus subtil, plus vrai.

Et si tout se jouait dans les détails ?

Les détails changent tout. Ils sont les tremblements discrets qui bouleversent nos équilibres. Dans la langue, dans le corps, dans la relation à soi et aux autres, ces petits riens sont les clefs d’une compréhension fine du monde. Les ignorer, c’est risquer de passer à côté de l’essentiel.

Besoin d’éclairer ce qui se joue en vous, dans ces nuances que vous ressentez sans toujours les comprendre ?
Je vous accompagne à travers l’hypnose, au cabinet ANIMA Hypnose à Angoulême ou à distance, pour vous aider à décoder ces subtilités qui peuvent tout transformer.

Contactez-moi au 07 69 93 33 18 pour réserver votre séance.

jeudi 17 juillet 2025

L’Effort Juste : un chemin vers l’équilibre intérieur

Un héritage millénaire au service de l’équilibre mental

Connaissez-vous l’Effort Juste enseigné par Bouddha ?
Il s’agit d’une force tranquille, une discipline intérieure orientée vers la libération de la souffrance. Cet enseignement vieux de plus de 2500 ans propose une méthode pour faire face aux obstacles et aux tensions du quotidien. Un outil mental puissant, proche dans son essence de ce que la psychologie positive contemporaine redécouvre aujourd’hui.

Une pratique quotidienne en quatre temps :

1. Écarter les sources de pensées négatives

La première étape consiste à empêcher l’émergence des pensées néfastes. Cela passe par l’évitement conscient des sources qui alimentent ces états d’esprit.
Par exemple : "si je constate que regarder BFM en boucle me rend anxieux, je choisis de m’informer autrement."

Ce positionnement suppose une bonne connaissance de soi et une vigilance active quant aux situations, contenus ou habitudes qui favorisent la négativité. La clé : mettre en place de nouvelles routines plus saines, plus sereines.

2. Combattre les pensées perturbatrices

Comme nous ne choisissons pas les pensées qui nous traversent, l’étape suivante est d’apprendre à les désamorcer. Cela demande un engagement :

  • Ignorer une pensée nuisible,
  • La relativiser,
  • La remplacer par une pensée plus aidante.

Les outils de la thérapie brève offrent ici des leviers très efficaces pour affaiblir la charge émotionnelle des pensées indésirables. C’est une véritable décision intérieure, un entraînement à se désidentifier des scénarios mentaux répétitifs.

3. Cultiver les pensées bénéfiques

Une fois le terrain apaisé, il devient possible de nourrir activement les états d’esprit positifs :

  • Gratitude,
  • Capacité d’émerveillement,
  • Rappel des bons souvenirs,
  • Optimisme,
  • Générosité,
  • Joie, gentillesse, humour…

S’entourer de ce qui fait du bien est un choix fort. C’est aussi ce à quoi ce texte aspire : semer un peu de lumière dans votre quotidien.

4. Entretenir la clarté intérieure avec constance

Le dernier pilier de l’Effort Juste consiste à entretenir ce nouvel état d’esprit. Cela demande de la patience, de la simplicité et surtout, une forme de constance.

À l’image d’un jardinier qui, chaque jour, arrose ses fleurs, nous pouvons apprendre à maintenir un climat intérieur doux, bienveillant, lucide. Cela suppose de choisir, encore et toujours, ce qui soutient notre équilibre plutôt que ce qui l’altère.

Pas de garantie de résultat immédiat. Seulement le geste, renouvelé, de prendre soin.


Et maintenant ?

Et si vous commenciez dès aujourd’hui à orienter vos pensées vers ce qui vous fait du bien ?
Un pas après l’autre. Je vous accompagne dans cette démarche, avec douceur et clarté, grâce à l’hypnose thérapeutique.

Réservez votre séance au cabinet ANIMA Hypnose à Angoulême (Charente), ou à distance, au 07 69 93 33 18.

dimanche 15 décembre 2024

Les lieux nous habitent : mémoire intime de nos espaces de vie

Quand nos murs gardent nos histoires, entre douceur, blessures et renaissances

Lieux de passage ou d’ancrage : que la maison devienne mémoire

Bien longtemps après les avoir quittés, certains lieux nous accompagnent encore.
Ils restent en nous, comme des empreintes invisibles mais profondes. Il suffit parfois d’un souvenir, d’un chiffre ou d’un détail pour que resurgisse une émotion, une atmosphère, un fragment de vie. Un numéro de rue, par exemple. Aujourd’hui, c’est le 15 décembre qui réveille en moi l’écho du 15, rue d’une maison parisienne.

Le poids émotionnel de nos maisons

Cette maison, c’était la première vraie. Celle de Nathalie et moi, à Paris.
Un lieu de départ, de construction, de vie. Notre fille y a grandi. Des rires d’enfant, des premières fois. Mais aussi les épreuves, les accidents de la vie. La vie dans toute son intensité, dans un même espace.

Je ressens encore, des années plus tard, la tendresse d’un foyer, mêlée à l’effroi de certaines nouvelles. Ces contrastes marquent un lieu à jamais. Car ce n’est pas seulement nous qui habitons une maison : elle aussi nous habite.

Les lieux nous portent et nous transforment

Les murs, les toits, les arbres du jardin…
Tout cela nous abrite, mais aussi nous écoute. Nous nous y déposons. Ils deviennent parfois les seuls témoins de notre intimité la plus profonde. Ce jardin, ces arbres furent mes confidents silencieux. Leur présence m’a porté, leur sagesse m’habite encore.

Ce n’est pas un attachement matériel. C’est un lien plus subtil, plus intime. Un lien qui fait que les lieux peuvent nous accompagner longtemps après. Comme des compagnons discrets de nos métamorphoses.

“Les lieux nous choisissent autant que nous les choisissons”

Cette phrase entendue récemment de Marie-Pierre Dillenseger m’a profondément touché.
Elle met en lumière cette réciprocité que l’on ne soupçonne pas toujours. Et si, au fond, nous étions appelés par certains lieux pour y vivre ce qui doit être vécu, transformé, incarné ?

Dans ce cas, honorer nos lieux devient essentiel.
Les remercier, les quitter avec respect, prendre soin de ce qu’ils nous ont offert. Les lieux accueillent nos soupirs, nos silences, nos rires et nos larmes. Ils méritent d’être vus pour ce qu’ils sont : des alliés invisibles de notre parcours intérieur.

En ce 15 décembre, une invitation à la reconnaissance

Je nous souhaite, en ce 15 décembre, de rencontrer véritablement nos lieux de vie.
De les écouter autrement, de leur parler peut-être. D’en faire des compagnons de confiance, des gardiens de nos transformations, de nos renaissances.

Et si vous exploriez ce qui vous habite profondément ?

Certains lieux réveillent des émotions enfouies, des souvenirs oubliés.
Si vous ressentez le besoin de poser un regard nouveau sur votre passé, ou d’alléger ce qui pèse encore en vous, je vous accompagne avec bienveillance.

Séances au cabinet ANIMA Hypnose à Angoulême (Charente) ou en téléconsultation, à distancePrenez rendez-vous au 07 69 93 33 18.

samedi 14 décembre 2024

Le pouvoir des mots : quand la lecture façonne notre monde intérieur

Le 14 décembre, une invitation à ressentir, explorer et s’ouvrir à l’invisible par la force des récits


Une date, un souvenir : quand un livre resurgit

Aujourd’hui, c’est un roman oublié qui refait surface en moi : 14 de Jean Echenoz. L’histoire bouleversante de quatre jeunes hommes, plongés dans l’enfer de la Première Guerre mondiale. Une plume directe, dépouillée, sans fard. Et cette boue, omniprésente, engloutissant la vie comme la mémoire. Un récit marquant, gravé quelque part à l’intérieur.

Il est fascinant de constater comment un simple chiffre — la date du jour — peut réveiller une mémoire enfouie. Ce roman, je ne l’avais pas convoqué. Et pourtant, à l’instant même où son titre a surgi, tout est remonté : les émotions, l’effroi, les blessures, les visages. Une puissance invisible, intacte.

Les mots : des fenêtres sur d’autres mondes

Certains textes laissent en nous des empreintes durables. Un mot, une phrase, et c’est tout un univers qui se déploie. Les lectures agissent en profondeur, bien au-delà de l’intellect. Elles éveillent nos sens, élargissent notre palette émotionnelle, nous ouvrent à d’autres manières de ressentir.

En y repensant, tant de récits m’ont transporté. Dans des vies autres, dans des territoires inconnus, dans les mystères de la condition humaine. Ils m'ont initié à l’intensité de certaines émotions, à des vérités que seule la fiction semble pouvoir transmettre.

Se laisser transformer par la lecture

Tout cela vit en moi. Ces lectures sont devenues invisibles, comme absorbées dans la texture même de ce que je suis. Je n’en ai pas toujours conscience, mais elles sont là, tapies dans les replis de l’âme. Elles façonnent mes ressentis, mes pensées, mes représentations.

Lire transforme, parfois imperceptiblement, parfois radicalement. Les récits modifient nos schémas inconscients, activent des zones de sensibilité, créent des sillons profonds. Ils peuvent devenir des guides silencieux, des compagnons d’évolution.

Le 14 décembre : et si on ouvrait une nouvelle page ?

En ce 14 décembre, je nous souhaite de croiser à nouveau ces textes puissants qui touchent, transforment et élargissent notre vision du monde. De nous laisser traverser, sans chercher à comprendre. D’accueillir ce que les mots réveillent, transmutent, éveillent.

Parfois, une simple lecture peut devenir une porte. Une bascule intérieure. Une lumière dans les zones d’ombre.

Vous reconnecter à ce qui vous anime profondément

Et si vous ressentiez le besoin d’explorer ces dimensions invisibles qui vous façonnent ?
Je vous accompagne dans ce voyage intérieur, au cabinet ANIMA Hypnose à Angoulême, ou à distance, avec douceur et présence.
Prenez rendez-vous au 07 69 93 33 18.

vendredi 13 décembre 2024

Superstition et inconscient collectif : ce que le 13 révèle de nous

Vendredi 13 : Un jour propice à explorer les parts invisibles qui nous animent depuis toujours

Les superstitions : entre réflexes anciens et croyances inconscientes

Les superstitions se propagent comme des murmures ancestraux, s’ancrant dans nos gestes quotidiens sans que nous en ayons pleinement conscience. Elles ressemblent à des rumeurs millénaires, venues de loin, adoptées presque sans y penser. Et pourtant, elles façonnent subtilement nos perceptions.

Il m'arrive, moi aussi, d’attribuer une signification à une date, une rencontre, une couleur. Comme si chaque détail portait une mémoire silencieuse. Ce réflexe m’évoque à quel point nous sommes tissés de culture, d’expériences et de traditions transmises parfois sans mots. Une culture peut-être apprise… ou innée ?

Un héritage invisible inscrit dans la psyché collective

Carl Jung parlait de l’inconscient collectif, cette empreinte universelle partagée par l’humanité entière. Nous y puisons des symboles, des intuitions, des habitudes. Même sans y croire, combien d’entre nous touchent du bois, croisent les doigts, ou replacent un pain à l’endroit sans y penser ?

Sans me dire superstitieux, je perçois en moi ces gestes, ces rituels, comme les fragments d’une sagesse ancienne. Nous sommes les dépositaires d’un héritage invisible. Le visible de nos actions masque souvent ce qui, au fond, nous guide depuis la nuit des temps.

Le 13 : un symbole qui nous interroge

Ce 13, quelle que soit sa réputation, nous parle. Non pas d’un hasard malheureux, mais d’un rappel symbolique de ce qui nous échappe. Il nous invite à reconnaître que nous sommes faits de mystères, d’ombres, de croyances enfouies. Il nous pousse à regarder ce qui, en nous, agit sans bruit.

Toucher le mystère du 13, c’est peut-être s’ouvrir à la complexité de notre nature humaine : à cette part sacrée, intuitive, irrationnelle… Et s’autoriser à l’accueillir avec curiosité.

Se connaître : un chemin semé de symboles

La connaissance de soi n’est pas une ligne droite. Elle serpente entre zones claires et territoires inconnus. Le 13 devient alors un guide symbolique : une invitation à explorer ce qui ne se voit pas, à honorer ce qui nous habite sans toujours se dire.

Aujourd’hui, laissons-nous porter par ces résonances subtiles, sans chercher à tout expliquer. Car en nous vit une richesse profonde, un foisonnement de références, de gestes et de croyances qui donnent du sens à ce que nous sommes.


Pour aller plus loin…

Et si vous preniez le temps d’explorer vos propres symboles intérieurs ?
Je vous accompagne dans cette démarche d’écoute et de transformation, au cabinet ANIMA Hypnose à Angoulême ou à distance. Réservez votre séance au 07 69 93 33 18.


jeudi 12 décembre 2024

Vivre pleinement chaque âge comme une fleur en éclosion

Le pouvoir symbolique du nombre douze

12/12/24. Une date marquée par la récurrence du douze, comme une invitation à la réflexion.
Ce chiffre traverse nos vies, nos cultures, nos systèmes. Il mesure, organise, structure. Sans forcément ordonner, il propose un cadre, un rythme.

On l’entend dans nos traditions : une douzaine d’huîtres pour Noël, douze œufs dans une boîte, une demi-douzaine d’oranges au marché.
On le lit sur nos montres : douze heures pour une demi-journée, deux fois par jour.
Il rythme notre calendrier : douze mois, douze cycles lunaires, douze signes du zodiaque.

Ce nombre qualifié de « sublime » trace une structure invisible mais omniprésente, dans laquelle nos vies s'inscrivent avec naturel.

Douze étapes pour traverser la vie

Et si notre existence pouvait, elle aussi, se lire en douze segments ?
Chaque section représentant un âge, un état, un passage.
La dernière serait l’heure du bilan, une forme de bascule vers un autre espace… peut-être celui de la transmission, de la sagesse, ou d’un nouveau commencement.

Comme les aiguilles d’une horloge, nous franchissons des caps, des épreuves.
Comme les douze travaux d’Héraclès, chaque étape nous pousse à évoluer, à nous dépasser, à révéler notre propre essence.

Le douze devient alors une mesure du temps qui passe, oui, mais aussi du chemin que l’on accomplit, intérieurement.

Chaque âge contient son trésor

À chaque période de la vie : une richesse unique.
Des découvertes, des émerveillements, parfois des pertes, toujours des transformations.
Rien ne disparaît : tout se transforme, se densifie, comme une boule de neige qui grandit en avançant.

Chaque âge possède ses révélations, ses trésors, sa beauté — pour qui choisit de les voir.
Ce sont des pierres jalonnant notre chemin : parfois légères, parfois lourdes comme des rochers.
Mais elles peuvent toutes servir à bâtir une passerelle stable, solide, transmise aux générations suivantes.

Le parfum de la fleur de l’âge

En ce 12 décembre, et quel que soit notre âge, nous pouvons choisir de le vivre pleinement,
non comme un chiffre sur un calendrier, mais comme une fleur à respirer.

La fleur de l’âge n’a pas d’heure fixe.
Elle est là quand on la reconnaît.
Quand on honore ce que l’on est devenu, sans regret ni projection.
Juste en accueillant le présent et ce qu’il a à offrir.

Et si vous offriez à votre âge toute sa profondeur ?

Je vous accompagne en séance d’hypnose pour traverser les âges de votre vie avec conscience, fluidité et sérénité.
Un espace pour relire votre parcours, intégrer ses étapes, et vous reconnecter à votre propre rythme intérieur.

Pour réserver une séance, contactez-moi au 07 69 93 33 18, à distance ou au cabinet ANIMA Hypnose à Angoulême, en Charente.

Qui suis-je pour juger ?

Le buzz d’un couple... et le verdict du monde Sans doute avez-vous croisé les images de ce couple américain, surpris par l’œil indiscret d’...